Emy Parker - Le bonheur ne dépend pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce que nous avons -

L'histoire sous forme d'anecdotes est autorisée.

• Je suis née ici à Sydney, d'une mère droguée et d'un père complétement absent. Mes parents ont pris la décision de m'abandonner quand j'avais encore quelques semaines... Je ne les ai donc pas connues. J'avais été adopté par la famille Parker. 
• J'avais un demi-frère plus grand que moi, je l'adore tellement et lui me trouve tellement fragile qu'il me protège constamment, même si je lui dis d'arrêter, il n'aime pas quand les hommes me tournent au tour. Bon, vous me direz, aucun homme ne m'a plu pour l'instant. 
• J'ai vécu une belle enfance, je les considérais comme ma famille. Puis il faut dire que mes parents font tout pour que je me sente bien auprès d'eux et je crois que c'est ça qui nous a réellement liés tous les quatre. 
• À mes 14 ans, j'ai découvert ce que c'était la méchanceté... Au collège, je me faisais embêter et toujours par la même fille, elle était méchante... Mes parents n'étaient pas au courant, je ne voulais pas les inquiéter. 
• J'étais brillante à l'école et je pense que c'est ça qui faisait peur aux autres élèves, mais je m'enfichais beaucoup, je voulais réussir dans la vie et j'étais déterminée à faire ce que je voulais de ma vie. Je rêvais de devenir soit médecin, soit infirmière. 
• Un jour, alors que je rentrais de l'école, contente de moi. Ainsi, j'avais reçu une très bonne note en français, un petit groupe de filles m'avait suivie jusque chez moi, manque de pot pour elles, mon frère était à la maison et quand il m'a entendu crier. Il est maintenant sorti... Il les a toutes fait fuir. Je n'avais plus le choix, donc j'en ai parlé à mes parents et à mon frère qui ont fait le nécessaire pour que tout cela cesse. 
• Arrivé au lycée, je me suis lié d'amitié avec une fille formidable. Elle est un peu comme moi, solitaire. Elle n'aime pas rester dans des groupes, ou bien aller à des fêtes ridicules où l'alcool coule à flots. 
• J'ai continué mes études, je crois que c'était toute ma vie. Je n'ai jamais eu de petit ami, en réalité, ça ne m'intéressait pas. Mes études étaient ma priorité et quand j'ai enfin eu le diplôme d'infirmière, j'étais la plus heureuse... 
• J'ai commencer a travailler a l'hôpital, j'adore ce que je fais tout les jours je me lève avec le sourire au lèvres.